Avec cette phrase de Marcel Ariand, « le corps est l’un des noms de l’âme », placée en exergue de son nouveau roman L’ile de la Française. Metin Ardilti donne d’emblée la couleur narrative de son récit. Il y sera question, une fois encore, du rapport entre la chair et l’esprit, et l’on verra comment il développe ici, dans une prose luxuriante, ses thèmes de prédilection que sont l’art.