Quand la réalité est moins belle que la légende, publiez la légend, faisait dire John Ford à un des personnages de son film « L’homme qui tua Liberty Valance ». Même état d’esprit chez Camille de Peretti dont le roman « L’inconnue du portrait » qu’elle viendra présenter aux journées des écrivains du Sud du 22 au 26 mars appuie sa narration sur un mystère et sur ce qu’il convient d’écrire quand, comme elle, on a de l’imagination et un sens aigu de la compassion.